Lamothe-Landerron

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Lamothe-Landerron
Lamothe-Landerron
La mairie (janv. 2010).
Blason de Lamothe-Landerron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Sébastien Goudenèche
2021-2026
Code postal 33190
Code commune 33221
Démographie
Gentilé Lamothais
Population
municipale
1 121 hab. (2021 en diminution de 6,51 % par rapport à 2015)
Densité 122 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 33″ nord, 0° 03′ 42″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 106 m
Superficie 9,18 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Marmande
(banlieue)
Aire d'attraction Marmande
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Lamothe-Landerron
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Lamothe-Landerron

Lamothe-Landerron est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située dans l'extrême est de l'Entre-deux-Mers en limite du département de Lot-et-Garonne, la commune se trouve à 70 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 27 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 8,5 km à l'est-sud-est de La Réole, ancien chef-lieu de canton[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Saint-Martin-Petit (Lot-et-Garonne) à l'est, Jusix (Lot-et-Garonne) au sud, Mongauzy à l'ouest et Saint-Michel-de-Lapujade au nord.

Communes limitrophes de Lamothe-Landerron
Saint-Michel-de-Lapujade
Mongauzy Lamothe-Landerron Saint-Martin-Petit
(L. & G.)
Jusix (L. & G.)

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 796 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers à 19 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lamothe-Landerron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marmande, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[12] et 28 329 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,8 %), zones agricoles hétérogènes (21,4 %), zones urbanisées (16,4 %), forêts (8,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route départementale D 1113, ancienne route nationale 113 qui mène, vers l'ouest, à Mongauzy puis La Réole et, vers l'est, à Sainte-Bazeille et, au-delà, à Marmande.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) dont l'accès no 4, dit de La Réole, est distant de 20 km vers le sud-ouest.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 33 km vers le sud-ouest.

Elle est desservie par une gare SNCF sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lamothe-Landerron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Medier et le ruisseau du Loup. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999, 2009, 2018 et 2021[20],[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamothe-Landerron.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 539 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 539 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Grandval, un ouvrage sur la Truyère de classe A[Note 3] soumis à PPI et disposant d'une retenue de 270,6 millions de mètres cubes[24]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de « Lamothe » a pour origine le terme gascon « mòta » en graphie dite classique (« mote » en graphie moderne) provenant lui-même du mot latin mota et qui désigne une colline ou un édifice sur une colline[26].
Le nom de « Landerron » provient de celui d’une baronne, Landron[27].

Le nom de la commune est La Mòta de Landeron en gascon.

Ses habitants sont appelés les Lamothais[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1656, Charles François de Lur de Salusses, marquis de Lur, propriétaire de la maison de Montaigne, est aussi seigneur et baron de La Mothe de Landerron[29].

En 1789, le comte de Galard-Béarn, baron de Lamothe-Landerron, est répertorié parmi les membres de l'ordre de la noblesse pour la sénéchaussée de Castelmoron[30].

À la Révolution, les paroisses Saint-Martin-de-Serres et Saint-Albert forment la commune de Lamothe-Landerron[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1803   Jean-Baptiste Martineau    
       
mars 2001 mars 2008 M. Perali    
mars 2008 avril 2021 Michel Despujol[32] UMP-LR Retraité
avril 2021 juin 2021 Délégation spéciale    
juin 2021 septembre 2021 Michel Despujol    
septembre 2021 En cours Sébastien Goudenèche    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le , la Communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Lamothe-Landerron s'est retrouvée intégrée à la Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 1 121 habitants[Note 4], en diminution de 6,51 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2821 4941 3581 3771 4461 4091 4171 4151 419
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3221 2861 2951 2671 2711 2601 2371 1641 112
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1071 0851 0839249479251 0021 047951
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9219439509581 0031 0401 0681 0701 122
2015 2020 2021 - - - - - -
1 1991 1321 121------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Événements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lamothe-Landerron Blason
De gueules à deux masses de billard d'argent posées en chevron, les extrémités passées en sautoir, accompagnées de trois rencontres de biche [?] du même[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 58,8 km pour Bordeaux, 24,1 km pour Langon et 7,6 km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 3 juillet 2011.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Lamothe-Landerron et Saint-Sulpice-de-Pommiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Marmande », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lamothe-Landerron », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lamothe-Landerron », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « barrage de Grandval », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France,vol. 1, Lib. Droz, 1998, 1852 p., p. 84, consulté le 9 août 2010.
  27. Lamothe-Landerron sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 28 août 2014.
  28. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 3 juillet 2011.
  29. Collectif, Michel de Montaigne - Son Origine, sa Famille, p. 329, consulté le 9 août 2010.
  30. Louis de La Roque & Édouard de Barthélemy, Catalogue des gentilshommes de Guienne, Agénois et Bazadois qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux États généraux de 1789, Lib. E. Dentu & Aug. Aubry, 1865, 56 p., p. 18, consulté le 9 août 2010.
  31. Historique des communes, p. 27, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 avril 2013.
  32. Commune de Lamothe-Landerron sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 3 juillet 2011.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 188-190 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
  38. « Inscription de l'église Saint-Martin », notice no PA00083581, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 9 août 2010.
  39. Site web du Dynamic Moto Club Lamothais, consulté le 27 janvier 2010.
  40. « 33221 Lamothe-Landerron (Gironde) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).